Comme vous le savez peut-être, je vis dans un 34 m² et je dispose néanmoins d’une pièce couture. C’est une sacrée chance, j’en suis bien consciente ! Je vais vous parler ici de mon matériel couture et de tout ce qui gravite autour. Je ne parlerai en revanche pas de mes meubles mais j’ai, comme la plupart d’entre vous, trouvé mon bonheur chez le suédois : bureau double, bureau simple, caisson, plan de travail, miroir sur pied, chaise pivotante, étagères… Quasiment tout provient de chez Ikea ! Question rapport qualité/prix, y’a pas à dire, c’est le meilleur !

Je ne parlerai pas non plus ici ni du matériel & des petites fournitures qui permettent de débuter la couture ni de mes dépenses annuelles en terme de tissu, mercerie & autres patrons de couture. Ça fera peut-être l’objet d’un autre article…

Dans celui-ci, je vous parlerai donc de mes machines bien sûr mais aussi de divers appareils et autres équipements. Sachez que d’une manière générale, je ne me précipite pas : j’attends le bon moment pour acheter ! Je peux ainsi bénéficier de promotions et de remises parfois fort avantageuses ! Je profite aussi des occasions comme les anniversaire, Noël… Ces dépenses font donc l’objet de longues réflexions & moult tergiversations avant de passer à l’acte car elles représentent pour certaines d’entre elles un sacré investissement…


Parlons tout d’abord de mes machines,

mes quatre indispensables !


Ma machine à coudre : Pfaff performance 5.0

Je l’ai achetée il y a maintenant plus de 5 ans, je n’en reviens pas comme le temps passe vite ! Après toutes ces années, je reste satisfaite de mon achat. Aucune panne, juste quelques dysfonctionnements mais réparés depuis peu grâce au technicien de la boutique Pfaff Rivoli.

Date d’achat : décembre 2013
Les plus : y’a pas dire c’est le côté électronique qui rend cette machine intéressante : les points d’arrêt début & fin, le coupe-fil intégré, le système IDT qui permet d’entrainer le tissu plus facilement (ceci dit la machine n’apprécie pas trop les surépaisseurs), l’écran tactile bien pratique, le réglage de l’aiguille (haut/bas), la plaque aiguille pour point droit, le capteur qui signale qu’il n’y a presque plus de fil dans la canette, le capot rigide… La machine est fournie avec une genouillère mais je ne l’ai jamais installée du fait que le pied-de-biche s’abaisse ou se lève automatiquement !
Les moins : au regard du prix je reste un peu perplexe quant à la qualité de fabrication (usines de production en Asie parait-il…) et donc de la durée de vie de ces machines. Le revêtement est en plastique (idem pour la pédale qui s’est abîmée très vite…). Autres moins : le point droit qui se déforme selon le positionnement de l’aiguille. Mon regret : avoir acheté cette machine par correspondance sur le site Coudre & Broder, le SAV n’a en effet pas du tout été à la hauteur. Si je devais en racheter une, je pense que j’irai voir du côté de chez Bernina.
Article : nouvelle machine, nouvel espace

Ma Surjeteuse : Lewenstein 700DE

Acquise à mes débuts en couture, elle est toujours là, fidèle au poste alors que c’est un modèle plutôt premier prix. Je n’ai à ce jour remplacé le couteau que trois fois ! La prise en main peut dérouter car tout est manuel, que ce soit en terme d’enfilage ou de réglage de la tension des fils mais avec le temps on s’y fait.

Date d’achat : 2008
Les plus :
rapport qualité/prix, machine robuste, jamais tombée en panne
Les moins :
réglages manuels (faire des essais au préalable est impératif), il n’y a pas de bac pour récupérer les déchets.
Si celle-ci devait tomber en panne, je pense que j’achèterais une surjeteuse industrielle. Les surjeteuses Baby Lock me font rêver avec leur système d’enfilage à jet d’air et leur réglage automatique de la tension mais quand je vois le prix, ça me calme tout de suite !

Edit août 2022 : j’ai acheté une nouvelle surjeteuse, il s’agit de la Bernina L460, j’en parle dans ce podcast couture pour celles et ceux que ça intéresse !

Ma recouvreuse : Janome 2000 CPX

Date d’achat : décembre 2015
Les plus :
machine robuste, enfilage rapide et simple
Les moins :
les points peuvent sauter à certains endroits (notamment au niveau des coutures d’assemblage / surépaisseurs) mais c’est un problème que j’avais réussi à régler en changeant les aiguilles (j’utilise les ELx705 SUK CF spécial jersey – plusieurs tailles d’aiguilles) et en modifiant la pression du pied de biche, j’en parle ici. Si le problème est toujours là, mettez la tension du boucleur sur 0 et… Et puis sinon, depuis que j’utilise une petite cale (morceaux de tissu ou de cuir), ça facile grandement le passage des coutures d’assemblage (tout pareil qu’avec une machine à coudre !). Y’a pas de secret, il faut faire des essais : prenez un échantillon, créez une couture d’assemblage (histoire d’être dans les mêmes conditions que pour votre future ourlet) et effectuez plusieurs réglages jusqu’à obtenir le résultat souhaité : jouez sur la tension des fils, la pression du pied de biche, la longueur/largeur de point, le différentiel… c’est une machine qui, comme pour la surjeteuse, demande de nombreux réglages manuels mais on y arrive, c’est une question de persévérance. Alors c’est sûr qu’avec une recouvreuse de la marque Baby Lock, on n’aurait pas tous ces réglages à faire… Alors si les réglages vous donnent le tournis, filez voir du côté de Baby Lock ! Sinon, sachez qu’une simple aiguille double fera également très bien le job (mais nécessitera aussi quelques réglages…). Si vous cousez peu d’ourlets (jersey), passez votre chemin et n’investissez pas dans une recouvreuse ! A bon entendeur…
Article : ma nouvelle recouvreuse
Tuto :
coudre un ourlet à la recouvreuse
Tuto : finition du bord / autre technique (voir en fin d’article)

Ma centrale vapeur : Calor GV8925C0
que j’associe évidemment à ma planche à repasser ! C’est une table avec un grand plateau (135 X 45 cm) et avec prise électrique/rallonge (qui a fini par cramer, attention donc !). Il s’agit donc d’une centrale vapeur haute pression équipée de 3 réglages de température & vapeur : « délicats », « normal », « jeans ». Perso, je la laisse toujours en mode « normal ». Je la mets en mode « jeans » pour les tissus de type lin ou coton épais. En tout cas, à chaque début de séance couture, c’est systématique, j’allume le fer !

Date d’achat : septembre 2017
Les plus : Le réservoir d’eau amovible dont la contenance est fort intéressante (1,6 l) : ça m’évite ainsi de le remplir 36 fois au cours d’une même séance couture, la semelle auto-nettoyante, le système de veille qui s’active automatiquement au bout de 8 minutes env. de non utilisation.
Les moins : Bien qu’il y ait un collecteur de tartre intégré, il arrive parfois que se forment des dépôts sur mon tissu (rejet de tartre). Petit conseil au passage : faites toujours des tests vapeur sur un vieux tissu avant tout repassage. Ces taches sont peut-être liées au fait que j’utilise souvent de l’amidon (fabulon) alors qu’il est clairement écrit ceci « n’utilisez jamais d’eau de pluie ni d’eau contenant des additifs (comme l’amidon, le parfum ou l’eau des appareils ménagers). De tels additifs peuvent affecter les propriétés de la vapeur et à haute température, former des dépôts dans la chambre à vapeur, susceptibles de tacher votre linge. » Perso je n’utilise que de l’eau du robinet. Pour info, il est indiqué ceci : « votre appareil a été conçu pour fonctionner avec l’eau du robinet. Si votre eau est très calcaire, mélangez 50% d’eau du robinet et 50% d’eau déminéralisée du commerce ».

Hélas, ma centrale vapeur ne tient pas sur le support trop petit prévu par cette planche à repasser… Je note donc dans mon carnet d’acheter un jour une table adaptée…


Parlons à présent

de ce qui gravite autour de ces machines…


Mon portant à vêtements
Au regard de la fréquence à laquelle je couds, autant vous dire que mes placards sont pleins… J’ai donc dû investir dans ce portant qui prend de la place c’est sûr mais qui m’est aujourd’hui réellement indispensable… Ci-dessous, les photos ont été prises en 2017, aujourd’hui le portant est totalement saturé…

Date d’achat : juin 2017
Les plus : double portant donc gain de place, robuste. Les roulettes permettent de le déplacer facilement.
Les moins : mes vêtements prennent la poussière et sont à proximité immédiate de mes fenêtres, il y a donc un risque de décoloration… J’ai donc mis des rideaux à ce portant pour palier ce problème…

Mes mannequins de couture
J’en ai 3 mais je ne les utilise aujourd’hui plus du tout. J’avais acheté à mes débuts le mannequin réglable premier prix proposé par La Redoute que j’avais rembourré pour qu’il corresponde plus ou moins à ma morphologie. Je ne recommande pas cet achat car ce mannequin a mal vieilli et s’est abîmé rapidement. Le deuxième trouvé en brocante (non réglable et aux mensurations trop grandes), m’encombre plus qu’autre chose, je l’ai donc mis à la cave…
Le 3ème (buste sur pied, revêtement dur), également acheté trois sous en brocante décore mon atelier et me sert parfois pour présenter de la lingerie comme ici et ici.

J’ai eu la chance d’utiliser des bustes de la marque Stockman, Cléo et Isis à l’occasion de cours de couture et de toilisme que j’ai pris grâce à la Maire de Paris. Ce sont des mannequins robustes, d’une grande stabilité et qui permettent de travailler correctement. Par contre ils coûtent extrêmement chers…

Edit 2022 : j’ai transformé mon mannequin de couture ! Cliquez sur l’image pour en savoir plus :

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J’ai également investi dans un mannequin miniature :

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Parlons à présent photo et vidéo !
Et oui, pour alimenter ce blog, mes podcasts et mettre ainsi en valeur un tant soit peu mes réalisations couture, l’appareil photo/vidéo est là aussi indispensable !

Pour mes photos, j’utilisais jusqu’à présent un simple appareil photo numérique et pour mes vidéos mon smartphone. Et puis j’ai eu récemment envie d’investir car des photos, j’en prends des centaines tous les mois… Après un petit sondage via Instagram, je me suis tournée vers la marque Canon. Après moult tergiversations (hybride ou reflex ? Lumix ou Canon ?), j’ai finalement acheté un réflex, le CANON 80D livré avec son objectif 18-135 que je commence tout juste à apprivoiser : adieu le mode automatique et vive le mode manuel ! J’ai tout à apprendre, j’espère donc m’améliorer au fil de ces prochains mois. En guise de cadeau d’anniversaire (1 bougie de plus le week-end dernier !) mon mari m’a offert l’objectif Canon 50mm F/1,8 : l’un des incontournables achats quand on débute la photo et mes parents, un trépied K&F Concept bien plus robuste que celui que j’avais avant et qui permet notamment des prises de vue avec rotation horizontale !

Date d’achat : avril 2019
Les plus : qualité de la photo en faible éclairage, qualité de la vidéo (full HD), prise micro, prise casque, déclenchement à distance (télécommande), écran orientable et tactile, bon autofocus, batterie avec une bonne autonomie, Wifi qui permet de transférer ses photos facilement et qui permet aussi de gérer l’appareil photo à distance avec un smartphone par exemple.
Les moins : nécessite une bonne connaissance de l’appareil pour une bonne prise en main (mais je trouve ça passionnant !), encombrant et relativement lourd, les objectifs & certains accessoires qui coûtent chers.

Je retravaille ensuite mes photos via l’application (gratuite) XnView qui permet entre autre de redimensionner, de rogner les images mais aussi, si besoin, d’ajuster la luminosité, le contraste… Sur mon smartphone, j’utilise Snapseed, application gratuite qui avait été présentée par la chouette équipe de la chaine couture Hello Supérette et qui permet de retoucher ses photos, d’ajouter du texte… et ce, en toute simplicité.

J’utilise depuis peu le logiciel de montage vidéo Movavi Vidéo Editor (Video Suite) que je trouve vraiment bien rapport qualité/prix et qui m’avait été conseillé par Magdaléna alias Triple L de Mag. Cet outil est assez intuitif et donc simple d’utilisation. Il permet notamment de faire des superpositions de photos/vidéos, choses que je ne pouvais pas faire avant…

Une fois le montage effectué, il faut exporter la vidéo sur YouTube et là le temps de téléchargement est totalement dingue ! Via ma connexion ADSL ça peut mettre jusqu’à 48 heures ! Pour palier ce problème, je transfère la vidéo sur mon smartphone qui l’exporte sur YouTube via ma connexion 4G : il faut alors compter 2 à 4 heures de temps de téléchargement pour une vidéo HD qui dure env. 1 heure (ça représente env. 12 Go !). EDIT 2020 : Je suis passée à la fibre (je suis chez FREE) et ça m’a littéralement changé la vie !!!

Pour améliorer la qualité de mes photos, j’avais acheté il y a plusieurs années un kit d’éclairage studio. N’y connaissant absolument rien, je ne suis donc pas en mesure de vous dire si c’est bien ou pas. Il y a forcément mieux c’est certain, mais pour l’usage que j’en fais (et pour les petits budgets), j’en suis absolument ravie ! En tout cas c’est un apport de lumière fort appréciable mais surtout indispensable !

Date d’achat : décembre 2014
Les plus : rapport qualité/prix, tout est toujours intact, les ampoules aussi (55 W, culot à vis E27), support facile à manipuler
Les moins : trépied un peu léger, fils électriques un peu courts
Mon article : Créer son studio photo chez soi à petit budget

Suite à cet achat (plusieurs années après…) j’ai décidé d’investir dans des ampoules qui diffusent une lumière blanche, type lumière du jour = 5 500 Kelvin. Je ne sais pas vous, mais moi j’ai tendance à travailler le soir, un apport de lumière m’est donc indispensable pour y voir clair dans mon atelier, d’autant plus que je couds, comme vous le savez, beaucoup de tissus sombres !

Ci-dessous trois ampoules spirales de tailles et d’intensités différentes : plus économes en énergie, elles durent plus longtemps et chauffent peu. L’inconvénient c’est que si ça se casse, c’est toxique paraît-il… (en 2022, les ampoules sont intactes, fidèles au poste !)
De gauche à droite : 12W (= 54W) – 45W (= 200W) – 55W (= 275W) :

La plus petite s’adapte très bien à mes lampes de bureau car le culot à vis E14 est assez standard. On trouve ces ampoules dans les grandes surfaces et les magasins de bricolage :

J’ai également acheté un Kit d’éclairage avec ces 2 trépieds qu’on pose sur table : dans mon cas, je les positionne au plus près de mes machines.

Date d’achat : août 2018
Les plus : rapport qualité/prix, tête inclinable, les ampoules (45 W, culot à vis E27), support stable, facile à manipuler
Les moins : le fil électrique un peu court, l’ampoule qui dépasse de l’abat-jour : il y a donc une gêne au niveau des yeux quand celle-ci est allumée mais pour y pallier, il suffit tout simplement de ne pas la regarder…

Edit octobre 2019 : j’ai depuis acheté en complément une ring-light d’un diamètre de 48 cm (57 €) qui me sert tous les jours et pour tout (éclairage de la pièce, photos, vidéos podcasts couture…). Je l’avais achetée sur Amazon mais elle n’est à ce que je vois plus en vente… Dommage car elle est vraiment bien (sauf le trépied…), l’anneau diffuse une lumière blanche fort appréciable (ne prenez pas en dessous de 60W !).

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Mes étiquettes

Je les ai achetées sur le site Dutch Label Shop : la version la plus simple : ruban noir et écriture argentée (on peut aussi choisir dorée !) : étiquettes « basic » de 6 X 2 cm. J’en ai acheté 50 « pour voir »… J’ai profité de l’offre de bienvenue de 10% et j’ai ainsi payé 31,10 € frais de port compris les 50 étiquettes (soit 0€62 l’étiquette). D’ailleurs en ce moment ce sont les soldes et vous pouvez ainsi bénéficier de 20% de réduction avec le code « dutchlabel20 » !

J’en suis contente bien qu’elles s’effilochent en peu, comme vous pouvez le voir sur les photos : serait-ce dû au fil argenté ? A voir aussi comment ça se comporte au lavage…

Mes carnets de couture

Je centralise depuis peu sur un carnet mes notes de couture qui me servent pour mes podcasts mais aussi pour faciliter la rédaction de mes articles de blogs. Ils sont au format A5.
J’ai commencé par le carnet Fashionary qui permet de dessiner des croquis de mode (silhouettes pré-dessinées) mais je ne suis décidément pas faite pour ça… Si ça vous intéresse d’essayer, sachez que des templates gratuits sont à votre disposition sur leur site. Et puis, si le dessin de mode vous intéresse, ils viennent de sortir des cartes avec plusieurs silhouettes différentes « for every occasion », je trouve l’idée vraiment chouette !

Mes premiers essais…

… rapidement transformés par du remplissage de texte et des photos collées :

DONC… Après avoir rempli/noirci entièrement ce carnet, j’ai décidé d’acheter un 2ème carnet. C’est à l’origine un carnet qui est normalement dédié au Bullet Journal : l’incontournable Leuchtturm 1917. Je l’ai acheté lors du dernier salon Créations & Savoir-faire et ai donc pu à cette occasion faire graver gratuitement mon pseudo sur la couverture rigide !

Ses pointillés gris sont vraiment utiles pour écrire, en revanche je trouve que le grammage du papier (80g/m²) est un peu juste en comparaison avec celui de mon Fashionary… On voit par transparence le verso de mes pages et le papier gondole suite à mes collages…

J’ai réussi à régler ce problème en utilisant non plus un tube de colle mais un roller qui permet de déposer une fine pellicule de colle :

Pour rédiger mes articles, imprimer mes patrons et faire mes vidéos, j’utilise évidemment ce qui m’est indispensable : un ordinateur portable et une imprimante. Pour info, j’ai acheté en 2018 l’imprimante HP ENVY 5547 mais elle demande une consommation de cartouches d’encre absolument affolante ! Autre info, j’utilise un Scotch dévidoir depuis février 2015 que je trouve bien pratique pour assembler les patrons PDF.

Autre outil qui m’est très utile et dont je suis ravie : ma pince Prym (vario) ! On la trouve dans la plupart des merceries. Celle-ci m’avait été offerte à mes débuts en couture par mes parents. Cette pince permet de poser des pressions (plastique, métal), des œillets et des rivets. Je les achète en général chez Fil 2000 qui propose tout un éventail de pressions/rivets/oeillets différents.
Tuto : poser des pressions pour anorak

Et pour finir cet article bien long, je termine avec WordPress, l’outil qui me permet de rédiger mes articles de blog. J’ai récemment décidé de retirer les publicités qui venaient alimenter mon blog. Pour info, ça m’a coûté 40 € (puis 48 €) et c’est à renouveler tous les ans (+ 18€/an nom de domaine).
EDIT octobre 2022 : je paye à présent 76€/an (+ 18€/an de renouvellement de nom de domaine) car j’arrivais à saturation côté photos… Je suis donc passé de 6 Go à 16 Go. La question que je me pose aujourd’hui : tous les articles de ce blog sont-ils sauvegardés quelque part ? Toute ma vie couturesque est en effet ici et ce serait drame si un jour je devais tout perdre…

Voilà, vous savez tout ! Et vous ? Quels sont vos indispensables, vos incontournables ?