Une exposition à ne surtout pas manquer !

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Cette superbe exposition, dont le commissaire de l’exposition est entre autres Jean Paul Gaultier, est présentée à la Cinémathèque de Paris (51 rue de Bercy – 75012 Paris) jusqu’au 16 janvier 2022. L’entrée coûte 12€ (réservation obligatoire).

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Voici la description : « Les robes de Marilyn Monroe ou de Brigitte Bardot, le short de Rocky ou le justaucorps de Superman, costumes et haute-couture s’exposent à la Cinémathèque française dans un parcours tout en métal et broderies, imaginé par le couturier cinéphile Jean Paul Gaultier. Une histoire croisée du cinéma et de la mode, où grands stylistes et stars de cinéma se côtoient pour un somptueux défilé. »

Jean Paul Gaultier est un artiste de talent que j’apprécie grandement. J’étais d’ailleurs allée voir son spectacle Le Fashion Freak Show aux Folies Bergères et ça m’avait beaucoup plu !


L’exposition est divisée en plusieurs sections. Je vous présente ici quelques tenues incontournables et emblématiques de cette exposition qui est étroitement lié au cinéma mais aussi celles qui m’ont le plus plu ou marqué. J’ai repris les textes des cartels et autres informations affichées ici et là… Bonne visite !

Première section consacrée au film Falbalas de Jacques Becker (1945) 

Dans une de ses interviews, il explique qu’il a voulu faire le métier de styliste en regardant le film Falbalas dont l’intrigue se joue au sein d’une maison de couture d’après-guerre : « Sans le défilé de Falbalas, je n’aurais jamais fait ce métier ». Je n’ai pas vu ce film, mais je n’ai à présent qu’une seule envie, c’est d’aller le voir !

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Marcel Rochas / Figurine n°11 (1945) : « Cette robe de mariée en satin ivoire est proche de celle créée pour Micheline Presle dans Falballas. Ce modèle est l’une des pièces qui était présentées parmi plus de 150 mannequins miniatures à l’occasion de l’exposition Théâtre de la Mode. L’échelle réduite des silhouettes est due aux restrictions de matières premières imposées par la Seconde guerre mondiale. » Cette petite figurine est impressionnante de part tous ces détails. Quelle finesse et  délicatesse !

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Corsets et guêpières… Là y’a pas de doute, nous rentrons dans l’univers de JP Gaultier !

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JP Gaultier / Silhouette de guêpière miniature (sans date) :

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JP Gaultier / Corset à seins coniques surpiqués avec porte-jarretelles intégré, conçu pour Madonna (1989) :

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JP Gaultier / Robe bustier corsetée portée par Catherine Ringer dans le clip des Rita Mitsouko (1985) :

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Quel travail de surpiqûres !

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JP Gaultier / Robe smoking (1999) : ensemble inspiré d’une création de Marcel Rochas visible dans le défilé du film Falballas :

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J’aime tous les détails de cette robe cintrée à la taille : col tailleur, double boutonnage, poches à rabat passepoilées…

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La deuxième Section évoque les archétypes féminins et masculins du grand écran

« De la  courtisane à la superwoman, du macho au dandy, les archétypes féminins et masculins du grand écran évoluent sans cesse, reflétant et devançant même parfois les rôles des femmes et des hommes au sein de la société. »

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Portrait de John Wayne dans La Prisonnière du désert de John Ford (1956). 

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Chaps et accessoires portés par Teddy et Joë Hamman dans la série Arizona Bill (1910). Métal et cuir. N’étant pas une amatrice de western, je découvre que le terme chaps est cette chose qui se porte sur le devant du pantalon… « Les chaps sont un vêtement pour protéger les jambes comportant une ceinture et des jambières, elles couvrent de la hanche à la cheville » (Merci Google !)

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Costume porté par Christopher Reeve dans Superman (1987). Justaucorps, collants, slip et cap en lycra et laine, bottes et ceintures en cuir. Voilà le genre de costume qui fait de cette exposition une visite divertissante !

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Azzedine Alaïa / Robe similaire à celle portée par Grace Jones dans Dangereusement vôtre de John Glen (1984). Robe en viscose maille, ceinture cuir box :

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Détail de l’incrustation. En vrai c’est hyper fin et délicat alors que la photo montre quelque chose d’assez grossier…

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Orry Kelly / Robe portée par Marylin Monroe dans Certains l’aiment chaud de Billy Wilder (1959). Soie, sequins et perle :

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JP Gaultier a tenu à faire la comparaison entre Marylin Monroe et Brigitte Bardot. « l’une est une actrice hollywoodienne à la féminité explosive, une star hypersexualisée aux costumes sophistiqués et l’autre, l’icone française qui apparaît comme une héroïne rebelle débordant de sensualité sauvage, à l’avant-garde d’une mode prêt-à-porter, plus jeune et simple. »

Jacques Esterel / Robe similaire à la robe de mariée portée par Brigitte Bardot (vers 1957-1958). Toile de coton vichy, volant de coton blanc et broderie anglaise. Il est vrai que c’est assez étonnant d’avoir voulu se marier dans cette « robe de jour à carreaux blanc et rose. Un tissu très bon marché dont l’actrice lance la mode ! »

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Edith Head / Robe portée par Mae West dans Sextette de Ken Hugues (1978). Soie, sequins, perles et strass.

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J’ai regardé de près cette robe pour apprécier et admiré le travail effectué sur cette soie…

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On passe à un autre style avec les photos suivantes… retour aux « héros à la virilité conquérante » !

JP Gaultier / Blouson et pantalon réalisés pour le costume de Bruce Willis dans Le Cinquième élément de Luc Besson  (1996). Gabardine de nylon kaki aux manches courtes enduites, résille et gabardine noire. 

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Regardez-moi la diversité de toutes ces poches ! Sans parler de la difficulté technique pour les réaliser…

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JP Gaultier / Biker en cuir, manches en plumes recréant un coq (2020). Veste portée par le mannequin Tanel Bedrossiantz : « il fut ma muse dès 1985 où il a défilé pour la collection Joli Monsieur, et il restera à jamais inégalé. C’est lui l’homme objet (avec en plus un cerveau !) ». En arrière plan, on aperçoit Marlon Brando qui porte un perfecto (1953) et Brigitte Bardot à moto vers 1960.

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On change carrément de style avec ce tailleur ivoire gansé marine et blanc de Karl Lagerfeld, porté par Audrey Tautou dans le film Coco avant Chanel d’Anne Fontaine (2009). 

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Comme vous le savez, c’est l’une des pièces iconiques et emblématiques de Chanel. Une veste souple, légère et coupée comme un cardigan avec une jupe simplement posée sur les hanches, libérant ainsi la taille. La jupe s’arrête sous le genou, c’est l’un des principes de Chanel ! D’ailleurs, j’en parle dans mon précédent article qui vous présente la rétrospective consacrée à Gabrielle Chanel. Si ça vous intéresse, c’est par ici

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Ellen Mirojnick / Robe, veste et escarpins portés par Sharon Stone dans Basic Instinct de Paul Verhoeven (1992). Laine, soie et cuir. Je pense que vous vous souvenez toutes et tous de cette fameuse scène de l’interrogatoire !
En arrière plan, on aperçoit les robes portées dans le film Huit femmes de François Ozon. 

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La troisième section est celles des transgressions

« Dès les années 1920, des stars hollywoodiennes comme Marlène Dietrich ou Katharine Hepburn affirment leur androgynie par le port de vêtements d’ordinaire réservés au vestiaire masculin. Ces pionnières bousculent les codes pour faire valoir la liberté de s’habiller comme elles le veulent. Il faudra attendre plusieurs décennies pour que ces transgressions deviennent moins confidentielles. »

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JP Gaultier / Body et jupe à l’effigie d’Arletty et robe débardeur brodée à l’effigie de Louise Brooks, figure de femme libre et rebelle :

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Tenue militaire, smoking et accessoires de Marlène Dietrich : « Mystérieuse et indomptable, elle est l’incarnation parfaite de la femme fatale. Elle joue aussi sur une ambiguïté sexuelle […], sa garde-robe comporte de nombreuses tenues et accessoires androgynes portés à la ville comme à l’écran ».

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Jean Paul Gaultier et Pedro Almodovar

« Le couturier et le réalisateur partagent plusieurs intérêts commun : la culture pop et alternative, l’excès de couleurs, la rue comme source d’inspiration et la transsexualité qu’ils rendent tous deux visibles, l’un dans ses défilés, l’autre dans ses films. Ils travaillent ensemble à trois reprises. A chaque fois, les costumes spectaculaires créés par Jean Paul Gaultier imprègnent tout l’univers de la fiction et la transcende pour en faire de véritables fétiches iconiques ».

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JP Gaultier / Costume porté par Victoria Abril dans Kika de P. Almodovar (1993) :

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« La poitrine arbore de véritables phares, électrifiés avec des fils apparents » :

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JP Gaultier / Marinière dos nu et pantalon marin (1982).

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Perso, ça m’intéresse toujours de voir de près la finition des bords… déformation couturesque ?

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JP Gaultier / Robe-fourreau portée par un homme : Gael Garcia Bernal dans La Mauvaise éducation de Pedro Almodovar (2003). Tulle de coton stretch, sequins, perle. Robe certes carrément strange mais je ne peux qu’apprécier encore fois ce travail si délicat qui associe strass et plumes !

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Sandy Powell / Costume porté par une femme : Tilda Swinton dans Orlando de Sally Potter (1992). Velours, perles, cuir.

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Regardez-moi tous ces détails ! C’est impressionnant !

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On change d’ambiance…

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Gilbert Adrian / Robe et collier portés par Greta Garbo dans La Reine Christine de Rouben Mamoulian (1933). Velours de coton, perles. 

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« Cette robe de cour, qui évoque une armure, a été un cauchemar de production : outre son prix exorbitant de fabrication, son poids d’environ 30 kg et la chaleur qui s’en dégageait donnaient à l’actrice des maux de tête. Le bruit de la robe traînant sur le sol empêchait quiconque de parler pendant ses déplacements, et la lumière réfléchie par la broderie causait des problèmes d’éclairage ».

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Moidele Bickel / Robe portée par Isabelle Adjani dans La Reine Margot de Patrice Chéreau (1994).

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Le métal… une matière récurrente dans les films historiques mais aussi dans la mode des années 1960.

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Paco Rabanne / Combinaison-pantalon à bretelle et coiffe sculpture (1997). Métal.

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JP Gaultier / Ensembles inspirés du film Satyricon de Federico Fellini (2020). Corsets en métal.

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JP Gaultier / Robe longue en mousseline de soie changeante vert de gris et body plastron métallique avec franges de métal argenté (2010). Cette association de matières est d’une beauté !

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Les sixties : une mode révolutionnaire ! Les mini-jupes et la mode unisexe font leur entrée. Dès 1962, André Courrèges crée des pantalons pour femmes pouvant être portés en journée dans la rue. Pierre Cardin dessine des modèles pour les deux sexes. Il dira « le travail des matières textiles m’a permis d’inventer une silhouette du futur, en tenant compte de la femme qui travaille ».

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Anaïs Romand pour le film Saint Laurent / Robes Mondrian de Bertrand Bonello (2014). Jersey peint. « Ces deux robes sont les copies de la célèbre collection automne-hiver 1965 d’Yves Saint Laurent rendant hommage au peintre abstrait Piet Mondrian. Dans la robe originale, les pièces de jersey de laine étaient travaillées en incrustations. »

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Pierre Cardin. Robe à incrustation cible (1966). Fibranne. Robe iconique avec ses formes géométriques.

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La régularité de ces incrustations est fabuleuse ! 

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Ça m’a rappelle, une robe en jersey que j’ai cousue il y a quelques années pour une chouette pièce de théâtre (coucou Sylvie !) :

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JP Gaultier. Ensemble inspiré du film Orange mécanique de Stanley Kubrick (1970). Chemise et pantalon en coton blanc, gilet sans manches avec dos en soie imprimée, slip en cuir.

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Quand on regarde de plus près, on s’aperçoit que c’est un imprimé à l’effigie du couturier. Si c’est pas la classe, ça !

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André Courrèges. Tailleurs deux pièces, chapeau et bottes montantes (1965). Laine, paille et cuir. « A. Courrèges simplifie les vêtements à outrance, notamment les pinces de poitrine et d’omoplates, pour ne garder que les coupures indispensables. La célèbre collection de 1965, constituée de mini-robes au-dessus des genoux, portées sans talon, est à cet égard visionnaire. »

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On en parle de ces coutures qui vrillent ?!

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Métal Hurlant

Bernard et François Baschet, sur une idée de Jeanne Klein avec la collaboration de Xavier de la Salle / Robe Bikini portée dans le film Qui êtes-vous Polly Maggoo ? de William Klein (1966). Tôle, aluminium, protections mousse et brides, tissu synthétique. Deux robes qui font écho à la célèbre collection de Paco Rabanne « 12 robes importables en matériaux contemporains » présentée en 1966 dans les salons de l’hôtel Georges V.

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Au dessus de ces deux silhouettes, une vidéo montre une scène où l’un des mannequins, lors d’un défilé, porte la robe ci-dessous en métal : cette robe l’a blessée au niveau du bras, du sang coule et elle semble souffrir terriblement… C’est assez saisissant de voir ça, je vous le dis !

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La dernière section est consacrée au Défilé de mode au cinéma

« D’abord exclusivement sur rendez-vous, le défilé de mode se met en scène dans des salons à l’ambiance luxueuse. Les mannequins y prennent la pose, décrivant parfois leurs tenues, avant de déambuler sur des podiums, le plus souvent rectilignes. Dans les années 1980, Jean Paul Gaultier, mais aussi Thierry Mugler ou Vivienne Westwood font du défilé un spectacle à part entière. La scénographie, l’orchestration sonore et l’attitude des mannequins font alors du défilé l’aboutissement d’une création collective similaire à celle du cinéma. »

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Christian Dior / Tailleur Bar (1947). Veste en shantung naturel, jupe corolle en laine plissée : une jupe ample, une taille marquée et des basques arrondies. J’avais déjà eu l’occasion de voir ce tailleur en 2017 à l’occasion de la fabuleuse exposition Christian Dior, couturier du rêve au Musées des arts Décoratifs

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Je rappelle que le tour de taille est ici de 46 cm !!!

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Gilbert Adrian / Robe et boléro portés par Kathryn Grayson dans Les Rois de la couture de Mervyn LeRoy et Vincente Minelli (1951). Tulle, soie, paillettes. Robe inspirée directement du style New Look de Christian Dior.

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Au centre : JP Gaultier / Robe fourreau (2000). Satin imprimé rebrodé de paillettes transparentes. Ce modèle reproduit un baiser de cinéma et il a été porté par Catherine Deneuve dans Au plus près du Paradis de Tonie Marshall (2002).

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Sur la photo ci-dessous, c’est la dernière pièce de l’exposition avec cette idée de podium et de défilé de mode. J’ai beaucoup aimé cette scénographie avec ces trois écrans en arrière-plan qui proposent plusieurs scènes de défilé successives.

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Anaïs Romand / Costumes et accessoires portés dans le film Saint Laurent de Bertrand Bonello (2013). N’ayant pas eu accès aux vêtements originaux créés par Yves Saint Laurent, la production du film reconstitue plusieurs défilés du célèbre couturier français, dont la collection Libération présentée en 1971.

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Shirley Russel / Costume porté par Ringo Starr dans Lisztomania de Ken Russel (1975). Soie damassée, dentelle, pierres, satin, paillettes, photographies plastifiées.

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C’est curieux et original toutes ces photos, non ?!

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JP Gaultier / Costumes portés par Josiane Balasko dans Absolument fabuleux de Gabriel Aghion (2001). Cape en peau, tailleur en coton.

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Col tailleur impeccable !

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JP Gaultier / Robe de mariée (1991). Tulle ivoire. Cette robe, dont la traîne façon « rideau vénitien » fait 25 mètres de long, est visible dans la scène du défilé du film d’Absolument fabuleux de Gabriel Aghion (2001).

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Elle est incroyable de longueur cette traîne qui nous dirige vers la sortie !

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Voilà pour cette exposition que suis trop contente d’avoir visitée ! Et puis bonne nouvelle : je suis également allée voir l’expo Thierry Mugler, Coutissime au Musée des Arts Décoratifs et j’en suis littéralement restée bouchée : une exposition exceptionnelle mais attention il y a un monde de folie ! Heureusement pour ma part que je m’étais inscrite à la visite guidée (ça permet ainsi de faire coupe-file) !!!

Pour info, le prix de l’entrée est réduit sur présentation de votre billet Cinémode ! 

Il me restera ensuite à aller admirer les pièces présentées au Palais Galliera à l’occasion d’une exposition intitulée Une histoire de la mode. Collectionner, exposer au Musée Galliera qui retrace l’histoire du Palais et de ses collections.

A suivre donc ! Ci-dessous, je vous laisse avec ce mur illustré de couvertures de magazines de cinéma et de mode, des années 1920 à nos jours : une composition que je trouve particulièrement réussie !

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