Voilà une visite incontournable de cette année 2022 !
Après deux ans et demi de fermeture et donc de travaux de rénovation, l’immeuble situé au 30 avenue Montaigne dans le 8ème à Paris a rouvert ses portes et accueille à présent, outre la boutique, un restaurant, un café mais aussi et surtout une exposition : la Galerie Dior qui n’est ni plus ni moins que le tout premier musée consacré à cette fabuleuse maison de couture qui fête aujourd’hui ses 76 ans. Enseigne qui est toujours en activité ! Les ateliers se trouvent d’ailleurs, parait-il, aux derniers étages de cet immeuble.
Alors déjà, je vous laisse admirer les vitrines… Cette sobriété est d’une élégance folle !
Cette petite vitrine est composée de miniatures : un avant-goût de ce qui nous attend à l’intérieur de la Galerie Dior…
L’entrée coûte 12€ et il est fortement conseillé de réserver son créneau avant de s’y rendre. Pour y accéder, c’est sur le côté que ça se passe : au 11 bis rue François Ier, l’entrée réservée autrefois aux ouvrières !
Cette exposition somptueuse est à présent permanente (même concept que celle du Musée Yves Saint Laurent). Elle est à l’image de celle présentée en 2018 au Musée des Arts Décoratifs (présentée à l’occasion des 70 ans de la maison) : Christian Dior, couturier du rêve, exposition que j’avais littéralement adorée et dont le parcours et la mise en scène sont assez similaires. J’avais d’ailleurs suivi à l’époque une visite guidée vraiment chouette malgré la foule… D’ailleurs, si ça vous intéresse, je vous invite à relire cet article dans lequel vous retrouverez quelques petites anecdotes.
La Galerie Dior est sur trois niveaux, soit une surface de 2 200 m² répartie en 13 salles/thèmes. Autant vous dire que le nombre de pièces exposées est assez impressionnant. La scénographie est époustouflante, on en prend plein les yeux au fur et à mesure du parcours, avec des ambiances à chaque fois différentes. Cette exposition relate l’histoire de la maison Dior, celle de son fondateur Christian Dior et ceux qui lui ont succédé, à savoir Yves Saint Laurent, Marc Bohan, Gianfranco Ferré, l’incontournable John Galliano, Raf Simons et la talentueuse Maria Grazia Chiuri.
J’aime beaucoup cette citation de Christian Dior : « Quoique vous fassiez (pour le travail ou le plaisir), faites-le avec passion ! Vivez avec passion… »
Cette première salle relate l’histoire de la famille et les débuts de Christian Dior à travers des croquis originaux, des bandes audiovisuelles, des documents d’archives, des photos…
Dès l’entrée, on découvre l’original tailleur Bar de 1947, pièce emblématique de la la maison. Le 12 février 1947 naît le New Look qui révolutionna alors la mode de l’époque. C’est un ensemble qui sera sans cesse revisité par les différents directeurs artistiques de la maison Dior.
Tailleur Bar (1947) : tailleur d’après-midi, veste en shantung naturel, jupe corolle en lainage plissé. Il parait que ce modèle a nécessité plus de 500h de travail et 12 mètres de tissu pour cette jupe plissée ! Il est le modèle le plus applaudi et le plus reproduit dans les journaux de mode dès 1947.
Dans ce document, on découvre ce qu’est la silhouette « corolle » et en « 8 » :
Chaque tenue avait son petit nom. Je trouve ça absolument charmant !
L’étoile, l’objet porte-bonheur du couturier, est également exposée : Christian Dior trouve cette étoile le 18 avril 1946, à même le sol, rue du Faubourg Saint-Honoré. « Pour le couturier, c’est un signe qui l’engage à accepter la proposition de Marcel Boussac d’ouvrir une maison de couture à son nom. Véritable porte-bonheur, cette étoile ne quittera plus son studio. »
L’entreprise familiale possédait des usines d’engrais et de produits chimiques et a développé divers supports publicitaires. Le jeune Christian Dior sait immédiatement ce qu’il ne veut pas faire : travailler dans les usines paternelles car ce serait pour lui un pur calvaire !
Dessin de chapeau (1937) : « Nuit et jour, j’inventais des maquettes, bien résolu à me conquérir une place. Les modèles de chapeaux trouvèrent des acheteurs, mais les robes, décidément, moins heureuses, ne furent pas très convaincantes ».
Christian Dior fait quelques illustrations comme ici dans les pages féminines du Figaro (1938) :
Et puis très vite, Christian Dior rencontre le succès que nous connaissons et publie « le récit de ses débuts en invitant le lecteur à suivre la création d’une collection. »
« En cinq ans, la maison de l’avenue Montaigne avait beaucoup changé. Derrière le petit hôtel du début aux propositions duquel je ne toucherais pour un empire s’élevait maintenant à un immeuble neuf de huit étages. » « Il fallait que ce fût le 30 avenue Montaigne. Je m’installerai ici et nulle part ailleurs ! »
Dans cette première salle, j’ai été sous le charme de cette robe haute couture (1948) qui est une robe d’après-midi habillée en lainage, dont je trouve la coupe absolument sublime. Je me verrais tout à fait dans ce genre d’ensemble !
Pour en revenir au début de cette exposition, sachez que nous sommes tout d’abord accueillis par un escalier en colimaçon qui est de toute beauté.
C’est ce qu’ils ont appelé le « Diorama » avec ces vitrines qui mettent en valeur 1 874 objets : on y trouve des robes et toutes sortes d’accessoires comme des chapeaux, des sacs, des souliers, des flacons de parfum… L’idée étant que la femme soit intégralement habillée en Dior, de la tête au pied. ça nous donne presque le tournis de voir tout ça !
Ces pièces iconiques de la marque, tous designers confondus, ont été déclinés en version miniature et placés derrière des vitrines XXL. Les 452 robes ont été réalisées par les couturières de l’atelier. Les accessoires ont quant à eux été faits par une imprimante 3D. Il parait qu’une trentaine de personnes y ont participé et que cela a représenté 100 000 heures de travail ! Ce dégradé est un régal pour les yeux : on passe ainsi du blanc au noir par toute une variation de couleurs. Cette palette arc-en-ciel est du plus bel effet.
Ces robes haute couture en version miniature sont de sacrées petites merveilles. A noter que ces mannequins représente 1/3 d’un mannequin à taille réelle. A n’en pas douter, ce « Diorama » fait partie des espaces phares et spectaculaires et de cette exposition.
Cinq autres salles m’ont également séduites :
Les jardins enchantés
Au plafond, on peut admirer ces célèbres fleurs en papier façonnées et découpées à la main par l’artiste Inti Velez Botero. Un travail colossal ! Ce décor est magnifique. J’avais déjà pu l’apprécier à l’occasion de l’exposition au MAD.
Robe Muguet (1957) en organdi brodé par la maison Legeron : Cette robe du soir courte évoque la passion de Christian Dior pour le muguet, sa fleur porte-bonheur dont il fit l’un des symboles de la maison.
Le bureau historique de Christian Dior
Cet espace a été reconstitué comme à l’époque. Il s’agit ici de l’ancien bureau et de l’ancien fauteuil de Christian Dior. Un style plutôt sobre.
Juste avant d’y accéder, on aperçoit cette escalier :
« D’illustres invités se sont vus disputer les marches de ce grand escalier ». Il fallait en effet se serrer pour voir le défilé ! Les mannequins évoluaient elles-aussi dans cet escalier.
L’allure Dior
Dans cette salle, on retrouve une création associée à chaque designer : le fondateur himself et ses 6 successeurs. Le concept d’associer une création à une vidéo mettant en scène le designer est plutôt bien pensé. J’aime beaucoup ce côté visuel, ça rend la chose plus vivante et animée.
Par ordre chronologique, on retrouve donc Christian Dior puis Yves Saint Laurent :
Christian Dior (1955 – Ligne A) / Ensemble d’après-midi, robe et paletot long en flanelle orné d’un brin de muguet (tiens donc !) :
Yves Saint Laurent (1960) / Ensemble composé d’une veste en crocodile et vison et d’une jupe en laine.
Marc Bohan (1961) / Robe en lainage. « Pour cette robe rouge, couleur « bénéfique » de C. Dior, Marc Bohan imagine un faux deux-pièces composé d’un haut d’une grande simplicité et d’une jupe à godets. Il y affirme une liberté de mouvement qui va caractériser la modes des années 1960. » C’est une coupe que j’aime beaucoup, je garde donc l’idée pour l’une de mes prochaines cousettes !
Gianfranco Ferré (1989) / Tailleur de jour, veste et jupe courte en drap de laine pied-de-coq et nœud en organza assorti. « Ce tailleur rend hommage à l’utilisation affirmée que faisait C. Dior des tissus masculins dès 1948. L’élégance féminine s’exprime par un immense nœud et des manches bouffantes qui caractérisent les silhouettes de G. Ferré de la fin des années 1980. »
John Galliano (2007) / Tailleur en crêpe de laine brodé par la maison Cécile Henri. « J. Galliano imagine une figure féminine façonnée selon les codes Dior, inspirée d’une photo des années 40. Ce tailleur amplifie les traits de la veste Bar de 1947 et perpétue la tradition du brin de muguet porte-bonheur porté au revers de la veste. »
Raf Simons (2012) / Manteau Bar en cachemire Rouge Dior. « De la veste Bar de 1947, R. Simons reprend le volume des basques en les transposant sur une pièce iconique du vestiaire féminin : le manteau. Il emprunte aux codes de C. Dior la taille dessinée par une ceinture martingale en métal, les larges poches arrondies qui amplifient la ligne des hanches ainsi que l’emblématique « Rouge Dior ». »
Maria Grazia Chiuri (2017) / Veste Bar en laine et tee-shirt imprimé sur une jupe en tulle. « Cet ensemble, présenté lors du 1er défilé de M. Grazia Chiuri, est une réinterprétation du tailleur Bar de 1947. Une touche contemporaine est apportée à cet ensemble par la mention apposée sur le t-shirt. »
Au cœur de la création
Au détour de ce parcours, on tombe sur la cabine des mannequins qui est le cœur de la maison. Le parquet a été remplacé par du verre, si bien que nous sommes invités à marcher dessus. Original comme concept !
Cette cabine a été restaurée, meublée et accessoirisée comme à l’époque de Christian Dior et des défilés quotidiens. Tout est d’origine : les lampes, les cintres, les housses…
« Grâce à de nombreuses photos d’archives, on a pu recréer, au même emplacement et dans les boiseries originales, la cabine de Christian Dior, raconte Nathalie Crinière. Elle avait la particularité de disposer d’une mezzanine, sur laquelle le couturier aimait s’installer pour regarder les filles, s’habiller et se coiffer avant un défilé. Pour redonner une dimension particulière à cet endroit, nous avons fait le choix de le couvrir d’un plafond en verre, sur lequel le visiteur peut marcher et admirer ainsi cette vue en contre-plongée, comme le faisait à l’époque le créateur. »
Les ateliers du rêve
« La création, c’est un ensemble de mille et une choses, c’est mille et un métiers qui se groupent autour du couturier ». « Les ateliers sont des déchiffreurs d’hiéroglyphes », écrivait le couturier.
Un certain nombre de toiles sont exposées dans cette salle et c’est d’une beauté sans nom… C’est la salle dans laquelle je suis restée le plus longtemps ! Ces prototypes nous permettent en effet de voir de près la façon dont les vêtements sont façonnés.
J’aurais pu tout photographier mais il a fallu tout de même faire une sélection. Regardez par exemple cette robe qui regorge de détails techniques avec toutes ces incrustations :
Cette robe qui de loin ne paye pas de mine, mais qui de près montre tout le travail de précision…
Ce travail de fronces…
Et voilà ci-dessous une technique de fonçage que je ne connaissais pas…
Un large col tailleur, une double patte de boutonnage, des poches, des boutons recouverts. Ces toiles vont loin dans le détail.
On remarque des traces de stylo sur cette toile :
Dans un autre style…
Comme je vous l’ai indiqué plus haut, les ateliers « flou » et « tailleur » sont toujours en activité et j’ai eu la chance de pouvoir discuter avec deux petites mains de la maison Dior (atelier tailleur). C’est une idée géniale d’avoir pu intégré cette rencontre dans le parcours de l’exposition ! Elles ont passé toute leur vie dans cette fabuleuse maison et les écouter parler, ce n’est évidemment que du bonheur. Même après tant d’années de savoir-faire, d’expérience, de passion et de transmission, elles ont encore des choses apprendre et à découvrir m’ont-elles dit. Quelle humilité !
Il faut dire aussi que les techniques évoluent, on ne coud plus aujourd’hui comme on cousait il y a 40 ans. Néanmoins, le travail à la main est toujours d’actualité. Exit l’entoilage thermocollant, regardez-moi tous ces points…
« Si la mode est faite pour être portée, elle doit aussi être expliquée, précise Hélène Starkman. Ici, deux artisans des ateliers de couture Dior seront présents chaque jour pour expliquer aux visiteurs leur métier, la complexité d’un geste ou l’évidence d’un autre, et pourquoi pas susciter des vocations ! Il est aussi primordial de rester dans l’idée d’une galerie dynamique, et donc de donner envie au public de revenir découvrir un autre savoir-faire d’exception à la française. »
Le Bal Dior
C’est pour moi le clou de l’exposition avec ce petit show son & lumières (projection sur les murs et le plafond de constellations, nuages, or) :
On passe ainsi d’une ambiance à une autre, regardez plutôt :
Quand l’or commence a dégouliner sur les parois, ça devient alors féerique !
Dans cette salle majestueuse, plusieurs pièces emblématiques sont exposés sur plusieurs niveaux. La robe Junon, qui est placée au centre est l’une des robes les plus emblématiques de la maison Dior.
Junon (1949) / Robe de grand gala en tulle brodé par la maison Rébé. « Chef d’œuvre absolu de Christian Dior, la robe Junon fut pensée pour être portée lors de grands galas. Ses pétales bleu-vert brodés évoquent le plumage du paon, animal attribut de cette « Reine des dieux », protectrice du mariage et de la fécondité dans la mythologie romaine. »
A droite, c’est la robe Lina / John Galliano (1997) : robe de bal longue en panne de velours brodée de rubans de fleurs par la maison Lesage et tulle de soie.
Et on retrouve la miniature de Junon un peu plus loin :
Il faut savoir que toutes ces robes sont les fidèles répliques de robes haute couture réalisées dans les chutes de tissus. Elles sont toutes réalisées à la main et cousues au millimètre près et semblables aux originaux jusque dans leurs moindres détails !
Une autre robe miniature m’a interpelée car les minuscules carrés de ce damier sont cousus les uns aux autres tel un patchwork. Le travail de précision est remarquable !
Je vais à présent vous présenter quelques autres pièces qui ont attiré mon attention…
Tout d’abord la robe Miss Dior créée en 1949 par Christian Dior qui est une « robe du soir courte en organza et taffetas de soie beige brodée de fleurs de soie réalisées à la main puis apposées sur un tulle grec. Ce modèle évoque le premier parfum créé par C. Dior, Miss Dior, en 1947 qui rend hommage à sa sœur Catherine. »
John Galliano – Arlequin d’eau argenté (1998) : c’est une robe à danser en mousseline de soie brodée de tubes et de fils par la maison Vermont.
La robe bleue au centre a été créée par John Galliano pour Lady Dy à l’occasion de la soirée des 50 ans de la maison Dior en 1996.
Ci-dessous deux créations là encore de J. Galliano (2004). Ce designer est tout de même très fort ! A droite c’est une « veste et jupe en triple organza de soie rebrodé or par la maison Lanel : barrettes dorées à effet miroir, cabochons stylisés et paillettes dorées dessinent le pectoral. Il s’agit ici d’une réinterprétation d’un pharaon de l’Egypte ancienne. »
Cette salle a pour thème « les affinités artistiques ». Ci-dessous, il s’agit d’une robe trompe-l’œil créée en 2018 par Maria Grazia Chiuri.
Nude (nom donné à cette robe) est brodée de paillettes métallisées par la maison Vermont.
Dans cette même pièce, il y a aussi cette « robe colonne de lune avec un corsage armure et lune bleu nuit brodée par la maison jato ». Une robe créée en 2020 par M. Grazia Chiuri.
Cette robe a également attiré mon attention : c’est une robe longue en crêpe avec application de mains créée par J. Galliano en 1999 :
On change de salle et donc d’ambiance…
Cette robe de mariée, au doux nom de Fidélité est une création de C. Dior (1949) : corsage en satin duchesse, jupe en tulle juponné.
« Le drapé croisé sur les hanches se noue au dos de la jupe à l’aide de deux pans qui rappelle les « ciseaux ».
Elle est amusante la forme de cette « robe du soir longue en taffetas de soie et tulle point d’esprit » (1947).
Quelques dessins et documents d’archives :
Et pour finir, voici la salle intitulée « le pouvoir de l’or » qui brille de mille feux !
J’adore, le mythique parfum créé en 1999. Toutes les versions sont ici exposées (2021-1998) :
Robe créée par M. Grazia Chiuri en 2019 : robe cage en rubans de crin dorés sur combinaison tatoo.
A la fin l’exposition, on a un accès direct sur le Café Dior, ce qui est plutôt bien pensé en terme de marketing ! Je n’ai pas regardé la carte des prix mais ce ne doit pas être donné…
Alors, je pense que vous l’aurez compris à travers ces quelques photos : cette exposition est belle, grandiose et éblouissante… Je vous incite donc à aller la découvrir de toute urgence !
Merci Sandrine
J ai vu cette expo le week-end dernier. Splendide !
Quand je regarde ton article, je me dis que j ai loupé des choses… ou alors les robes sont parfois changées 😕
J ai aussi pu échanger avec les deux personnes qui parlaient de leur métier. Sans elles, j aurais d ailleurs raté le plafond lumineux qui simulent les pas des couturières qui tournent autour du mannequin dans les ateliers qui seraient à l étage au dessus.
Bref, une visite magique que je conseille à tous. Mon compagnon a beaucoup apprécié également, sans être passionné de couture !
Ah génial ! J’étais tellement prise dans ma conversation avec les couturières que je n’ai pas pensé à prendre en photo/vidéo ce plafond et je le regrette tant…
Merci pour ce bel article qui va m’inciter à aller voir ce musée dès que possible. Après ton article précédent, j’avais visité également l’exposition qui était consacrée à Christian Dior aux Arts Décoratifs avec mon époux, et comme celui de Bonnot (précédent message) il avait bien apprécié. Je prêterai particulièrement attention aux détails soulignés. Je conseille la visite de la villa Christian Dior à Granville qui reconstitue bien l’ambiance où a vécu ce créateur et couturier exceptionnel.
Merci Véronique ! Oui, il faut vraiment que je programme une visite à Granville, ça a l’air superbe !
merci pour ces merveilles, et n’oublions pas que tout cela est cousu par « les petites mains » qui sont de vraies artistes elles aussi!!
Tout à fait ! C’est d’ailleurs même impressionnant ce qu’elles arrivent à faire, je suis hyper admirative !
Merci beaucoup pour cette visite guidée, ça donne envie d’y aller d’urgence !
Merci beaucoup Françoise !
Waouh! Trop trop beau! J’irai visiter quand je serai à Paris
Vous allez vous régaler !
Un grand merci pour ce reportage très complet .
Heureusement que vos comptes-rendus sont là pour me stimuler à me déplacer à Paris .
Alors, c’est fabuleux, me voilà plus que ravie !
Merci beaucoup à toi pour ce reportage très complet. Oui, en efft, ça m’a l’air vraiment grandiose, et magnifique. Toute l’étincelance de la haute couture, entre les tissus précieux et les coupes savament étudiées.
J’adore cette robe que tu as photographiée en gros plan avec les boutons qui retiennent les plis, sur la jupe, et au niveau du corsage. Il faut que je la regarde de près et que je la dessine, pour m’en inspirer, pourquoi pas…
Merciiiiiiiiiiiii ! Oui cette robe est fort intéressante de par ce joli drapé !
Sublime ! Un grand merci à toi ! En espérant pouvoir m’émerveiller à mon tour directement. Et vive la couture !
Oui, c’est ça, vive la couture ! Merci Zélie !
Hello Sandrine,
je viens de visionner ton dernier podcast, et j’ai eu plein la vue. tu m’as donné trop envie de programmer un week-end asap pour voir ces merveilles. je te remercie ma belle et je te souhaite un très bon mois de juin et bonne vacances. bises
Merci à toi d’avoir à la fois visionné ce podcast et d’avoir lu cet article, ça me fait super plaisir !
Quelle merveilleuse visite je viens de faire grâce à vous ! Mille merci d’avoir consacré du temps à faire les photos et les commentaires pour les exposer dans votre article, aussi brillant que l’or de Dior.
Merci ma chère Sylvie !
Merci pour ce magnifique reportage. Je vais programmer une visite.🙂
Merci ! Vous me raconterez !
Bonsoir Sandrine, merci infiniment pour ce reportage et les superbes photos !
Toi qui t’étais initiée à la création sur petit mannequin, tu as dû te régaler dans la salle des toiles… L’escalier Diorama, oh là là c’est quelque chose, une vraie féerie !!! J’aime beaucoup le manteau Bar rouge et la robe à gros boutons en obliques et plis. La scénographie de cette expo est particulièrement réussie.
A vrai dire tout est un pur régal, chaque pièce/ambiance vaut le détour !
Bonjour Sandrine,
Je vous suis discrètement depuis que j’ai croisé votre chaine une première fois et suis très admirative pour tout ce que vous faites.
Pardon de détourner les commentaires de cette page, j’ai cherché une adresse mail et n’en ai pas trouvé. Je souhaite en réalité réagir à votre dernier podcast et à votre intention de changer de surjeteuse.
Je ne souhaite pas faire de publicité pour mon site en utilisant le vôtre mais si ma suggestion vous intéresse n’hésitez pas à me contacter.
Merci encore pour tous ces partages qui boostent souvent ma propre motivation.
Excellente journée,
Dominique
Bonjour Dominique, merci pour votre message si enthousiasmant ! A vrai dire, mon choix de surjeteuse est à présent arrêté (acompte versé) mais je suis en effet curieuse de vous lire. Voici mon adresse mail : sbcreationscouture@free.fr
Un immense merci pour ce reportage très complet d’une expo que hélas je n’aurai pas l’occasion de voir habitant à l’étranger ! Dior symbole d’une certaine élégance autant il y a 70 ans à ses débuts que de nos jours. Je trouve très touchant le fait d’avoir intégré 2 « petites mains » à l’expo. Ces personnes ne sont pas souvent mises en avant alors que toute la technique et la transmission de leur savoir faire sont essentiels.
Coucou Marmotta ! Il est clair que d’avoir prévu dans le parcours de cette exposition un moment de discussion avec ces talentueuses couturières, c’est un vrai plus ! J’aurais pu y rester des heures !!!
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