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J’avais très envie de me coudre ce kimono, tout simple mais tellement seyant !

Voici la description de ce patron par Urban Fairy : « Aiko est un kimono qui peut être porté en tenue d’intérieur ou en veste. Ce n’est en fait pas vraiment un kimono, car le vrai kimono a des manches dans le prolongement et un soufflet sous le bras, lui a des manches symétriques et basses, c’est son petit détail original ! »
Le patron existe au format pochette (13,90 €) et au format PDF (8,90 €).

Il s’agit d’un patron simple mais bien coupé. Les pièces sont peu nombreuses : devant, dos, manches, ceinture, bracelet de manche et bande d’encolure.

J’adore le style, la coupe de ce kimono. Je m’y sens très à l’aise. Ce kimono est prévu pour être porté comme un vêtement d’intérieur et c’est ce que je vais faire. Je vais tout de même l’emmener dans ma valise de vacances, car il peut être très chouette à porter les soirs, en bord de mer tout en dégustant une glace (menthe-chocolat avec beaucoup de chantilly, s’il vous plait !) !

Quant aux tailles proposées, ce patron est prévu pour les tailles 32 à 52, soit un très large éventail ! En ce qui me concerne, j’ai choisi la taille 36 pour mon 36 habituel et il tombe nickel. Sachez qu’un tableau des mesures du vêtement fini (pour le tour de poitrine) est indiqué pour vous donner une idée de l’aisance apportée au modèle.

Le niveau annoncé pour coudre ce patron est débutant si vous cousez ce kimono dans du coton, intermédiaire si vous le cousez dans un tissu plus fluide comme la viscose, la soie… Pour ma part c’est la viscose que j’ai choisie. Je l’ai trouvée chez Toto tissus au prix de 8,90 € le mètre.

Sachez que ce patron fait partie de la formation « Coudre ses premiers vêtements » :

Le livret propose d’assembler le kimono avec des coutures anglaises, ce que j’ai fait ! Les finitions sont donc nickels !

Voici une vie sur l’intérieur :

Il y a même des coutures anglaises au niveau des emmanchures :

Une fine ceinture vient fermer ce kimono :

Et des passants viennent placer la ceinture là où il faut. Pour ma part, j’ai juste oublier de les fixer au moment des coutures anglaises. Tant pis, je les ai donc cousus après…

Une bande vient faire le tour de l’encolure. Là aussi, ce sont de jolies finitions : on a même du mal à repérer l’endroit de l’envers…

La bande d’encolure au bas du kimono (j’ai procédé à ma manière pour la gestion du bas de la bande et de l’ourlet) :

Les manches sont finies par un bracelet de manche :

Sur l’endroit :

Sur l’envers :

Le kimono est fini par un ourlet double :

Voilà pour ce kimono que j’ai déjà porté plusieurs fois ! Je l’adore !